Le projet a pour objectif de dessiner le développement urbain de la commune de Pacé pour les 15 prochaines années. Il permettra la réalisation d’environ 1200 logements.
Le secteur de la Clais se situe à l’ouest de la commune, entre le lotissement de Vergéal et la vallée de la Flume. Il s’agira du premier secteur à sortir de terre. Ce futur quartier a été pensé pour offrir des espaces de vie de qualité en s’insérant dans la nature environnante. Les habitants bénéficieront ainsi de la proximité de l’espace naturel de la vallée de la Flume. Ils pourront y accéder via un ensemble de cheminements piétons et de percées visuelles.
Pour s’assurer de la qualité des futures constructions, l’aménageur et la commune se sont entourés d’une équipe pluridisciplinaire. Il lui ont confié la mission d’accompagner l’ensemble des projets avant le dépôt des permis de construire. Elle vérifiera également l’atteinte des objectifs environnementaux et urbains une fois les chantiers finalisés.
Découvrez dans les vidéos ci-dessous la genèse et la manière dont ce projet a été conduit ! La parole est donnée aux principaux acteurs du projet.
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L’évolution que connait aujourd’hui le monde du travail entraîne des changements de repères, de pratiques et d’organisation. Ces évolutions ont un impact sur l’organisation du travail pour les entreprises et leurs équipes. Le secteur de l’immobilier professionnel est confronté à cette nouvelle demande d’immobilier flexible. Le coworking vient ainsi proposer une offre complémentaire à la location classique de bureaux dans les immeubles tertiaires. Le Groupe Giboire a choisi de créer sa propre entité dédiée au coworking sous la marque LE POD.
L’espace de coworking nouvelle génération
LE POD marque sa différence par la volonté de trouver l’équilibre entre performance et bien-être au travail.
La qualité de vie au travail s’illustre notamment par des bureaux spacieux, des aménagements et une décoration apaisante. Elle passe également par des mobiliers confortables et design et de nombreux espaces de convivialité. Cela implique la disponibilité d’ espaces meeting et d’espaces événementiels, terrasse, jardins, roof top…). Enfin, cela sous-entend la mise à disposition d’une gamme de services facilitant la vie au travail du coworker.
Cette volonté de bien-être pour ses coworkers s’illustrera aussi par la présence de coachs sport et bien-être. Ils proposeront chaque jour différents cours et ateliers collectifs ou individuels (yoga, pilates, cross-fit, renforcement musculaire, méditation, stretching, relaxation, sophrologie…).
LE POD Rennes, un emplacement stratégique et emblématique
LE POD Rennes ouvrira ses portes début juillet au sein de l’immeuble Identity 3. Cet immeuble neuf, certifié HQE, est situé au pied de la gare de Rennes. Sur 1200 m² et 3 niveaux, LE POD Rennes développera son nouveau concept centré sur le bien-être au travail. Il marie tous les éléments qui font le succès du coworking : emplacement stratégique, exposition et lumière, larges espaces, jardins ou terrasse, offres diversifiées allant du simple poste de travail, aux bureaux partagés, privatifs ou aux bureaux opérés permettant d’ajuster l’espace aux besoins des entreprises.
Vous souhaitez investir pour mettre en location un logement meublé ? Vous vous demandez quels sont les avantages de la location meublée et les démarches à suivre ?
Voici quelques éléments de réponse :
1. J’hésite à proposer une location meublée. Quelles sont les différences entre un logement meublé et un logement vide ?
La réglementation prévoit qu’un logement est considéré comme meublé s’il est pourvu de l’équipement suffisant pour permettre au locataire d’y vivre immédiatement et convenablement au regard des exigences de la vie courante. Par conséquent, le propriétaire doit notamment prévoir : la literie, l’occultation des fenêtres de la chambre, des plaques de cuisson, un four ou micro-onde, un réfrigérateur-congélateur ou au minimum un compartiment congélateur, la vaisselle nécessaire à la prise de repas, les ustensiles de cuisine, la table et les chaises, le luminaire et du matériel d’entretien ménager.
Ainsi le décret n°2015-981 du 31 juillet 2015 liste le minimum de l’équipement nécessaire pour qualifier le logement de « meublé ». A défaut, il sera considéré comme un logement loué vide.
2. De quelle manière dois-je déclarer les revenus issus de ma location ?
Contrairement aux revenus provenant de location de logements vides qui sont imposables dans la catégorie « revenus fonciers », les loyers issus de la location meublée sont imposables dans la catégorie des BIC, soit au micro-BIC soit sous le régime au réel.
Par ailleurs, différents types de location meublée existent : la résidence principale, la location saisonnière, la location de chambre à un étudiant, les gîtes… Selon le type de location, le seuil d’application du micro-BIC varie. Dans le cas général, pour pouvoir bénéficier de l’application du régime micro-BIC, les loyers et charges perçus ne peuvent excéder 70 000 € sur l’année. De surcroît, un abattement forfaitaire de 50 % est appliqué sur ces recettes perçues.
En outre, l’activité de loueur en meublé peut être exercée à titre professionnel (LMP) ou non-professionnel (LMNP). Ces statuts juridiques confèrent des avantages fiscaux particuliers.
3. Je loue un appartement meublé à titre de résidence principale pour un étudiant. Quelles sont les incidences sur le loyer et le bail ?
La durée du contrat de location pour un logement meublé est obligatoirement d’un an renouvelable par tacite reconduction. Toutefois, si le locataire est un étudiant, il peut bénéficier d’un contrat de location d’une durée de 9 mois sans renouvellement possible. D’ailleurs, au moment de la signature du contrat de location, le bailleur peut opter pour un montant de charges forfaitaire ou réel.
Enfin le locataire peut quitter le logement à tout moment en respectant un préavis d’un mois.
Votre conseiller du Groupe Giboire reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
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Située à 12 kilomètres d’Angers, Saint-Léger-de-Linières est une nouvelle commune, en plein développement.
Saint-Léger-de-Linières, une commune aux nombreux atouts
Elle s’appuie sur une population jeune (moyenne d’âge de 35 ans). La ville compte aussi sur la centaine d’entreprises qui sont installées sur son territoire, pour dynamiser son économie. Elle dispose également d’un patrimoine architectural particulièrement intéressant avec notamment le presbytère et l’église du XIIIe siècle de Saint-Jean-de-Linières.
Enfin, elle bénéficie d’un environnement naturel privilégié. En effet, la forêt de Linières et la forêt de Bécon sont accessibles en 10 minutes à vélo. Elles promettent de belles balades, entre bois et bocage.
La commune dispose de tous les commerces et équipements sportifs et culturels nécessaires au quotidien. Angers n’est qu’à 20 minutes en voiture.
Le Toulonnet, un lieu de vie préservé où tout se trouve à portée de main
Dans un écrin bocager, le Toulonnet est implanté aux portes du Bourg de Saint-Léger-de-Linières. Il offre un cadre de vie privilégié et apaisant. Il est marqué par la présence de nombreuses haies. Celles-ci forment une chambre bocagère remarquable. Le site du Toulonnet se caractérise par une grande richesse paysagère et écologique sur laquelle le futur quartier s’appuie.
Les parcelles privées sont délimitées par des cœurs d’îlots végétalisés. Cela permet de créer de vrais lieux d’intimités mêlant le paysage aux habitations. Les espaces de vie collectifs sont eux-aussi conçus au sein de la trame bocagère. Ils offrent des espaces de convivialité qualitatifs que les futurs habitants pourront aisément s’approprier.
L’insertion du site se poursuit enfin au gré des continuités piétonnes. Elles s’implantes entre le futur quartier et le centre-bourg de Saint-Léger-de-Linières et garantissent une accessibilité directe aux services et équipements de la commune.
Le projet se compose de 24 TERRAINS À BÂTIR dont 6 lots abordables.
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Après le Palatin et le Capitole, ce sont deux nouvelles résidences qui sont mises en vente au cœur du nouveau quartier Via Silva. L’Aventin et Le Quirinal bénéficient d’un environnement agréable, en lisière du parc de Boudebois.
Via Silva, un nouveau quartier à vivre
A l’entrée de Cesson-Sévigné, le nouveau quartier Via Silva dispose d’une très bonne accessibilité. En effet, il se situe à 15min à peine du centre-ville de Rennes, et à proximité de l’axe Rennes>Paris. Moins de 10 minutes à pied sont nécessaires pour rejoindre la future ligne B du métro (arrêts Atalante et Via Silva). La ligne de bus C6 dessert également le quartier. De plus de nombreux aménagements permettent de rejoindre Rennes à vélo en moins de 30 minutes, en utilisant des cheminements protégés.
La ville de Cesson-Sévigné, est quant à elle, reconnue et recherchée par les familles pour sa qualité de vie. En effet, elle dispose de tous les équipements scolaires, sportifs et culturels garantissant une vie pratique et privilégiée au quotidien. Ville fleurie, elle s’épanouit dans un environnement préservé.
L’Aventin et Le Quirinal, des architectures contemporaines bien intégrées à l’environnement existant
Développées respectivement sur 6 et 4 niveaux, les résidences sont conçues selon un principe de construction en gradin et un travail de fragmentation des volumes. La création de « maisons sur le toit », abritant chacune un appartement duplex, assurent la transition entre l’habitat collectif et les îlots pavillonnaires voisins. Ce découpage participe à l’esthétique de la résidence. Les teintes chaleureuses et naturelles confèrent aux projets une élégance et une sobriété architecturale.
Les appartements disposent tous d’un espace extérieur généreux. Les jardins du rez-de-chaussé possèdent des récupérateurs d’eau de pluie et des cabanons. Une attention particulière est également portée aux espaces paysagers communs, faisant la liaison avec le parc du boudebois notamment.
L’Aventin se compose de 18 logements du T2 au T6.
Le Quirinal propose 17 appartements du T2 au T6 dont 5 en accession à prix maîtrisé.
Les travaux débuteront fin 2022 pour une livraison au premier semestre 2024.
Pour consulter les plaquettes du programme et parcourir les maquettes 3D, rendez-vous sur les pages dédiées : L’Aventin et Le Quirinal
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En collaboration avec la collectivité, le Groupe Giboire et le Groupe Launay aménagent un nouveau quartier au Sud de La Chapelle-des-Fougeretz. Ce dernier se déploie en deux secteurs mêlant des enjeux de requalification et d’extension de la ville. La commercialisation est achevée sur la 1ère partie des Coteaux de la Viennais. Le lancement commercial de la 2nde partie Viennais Sud aura lieu à l’été 2022. Quant à lui, le secteur du Pont Romain s’apprête à accueillir une opération de fouille archéologique d’envergure.
Un projet urbain ambitieux pour la commune
Depuis 2019, la frange sud de la commune accueille ce projet urbain, réparti sur 2 zones géographiques. Il est réalisé en co-aménagement par le Groupe Giboire et Groupe Launay. La Viennais et le Pont-Romain se répartissent de part et d’autre de la Rue des Longrais.
À terme, il est prévu d’aménager environ 700 logements de formes urbaines différentes offrant de l’habitat individuel et collectif. Les futurs acquéreurs pourront bénéficier de différents types de financements : accession libre, accession aidée et locatif social.
Pont Romain, un environnement privilégié en entrée sud de la ville
Orientée Nord-Ouest, la pente du secteur du Pont Romain offre une vue sur le ruisseau du Moulin Neuf, son talweg et le flanc de colline en face. Il se développe dans une pente continue dans laquelle se logent les voies, parallèlement aux lignes topographiques. Elles créent ainsi des dépressions et des surplombs sur les terrains. Deux voies majeures, cette fois-ci dans la pente, offrent des vues profondes sur le versant opposé. Libérées de toutes constructions dans leur continuité, elles assurent depuis le haut du quartier une vue dégagée sur la campagne, identité du site.
Cette opération s’inscrit également dans le cadre de la reconversion de la friche Hardy en projet de renouvellement urbain. En effet, les cuisines Hardy ont cessé leurs activités en 2009. Les bâtiments, alors laissés à l’abandon, ont été démolis en 2019.
À l’horizon 2028-2030, Le Pont Romain accueillera 325 nouveaux logements sur une surface de plus de 15 hectares.
Lancement d’une opération de fouille archéologique
Préalablement à l’aménagement, les archéologues de l’Inrap vont mener une importante fouille à l’emplacement du futur lotissement. Celle-ci est réalisée sur prescription de l’État (DRAC Bretagne), de mars à décembre 2022.
Une série de prospections et de sondages avaient déjà permis d’identifier la présence d’une importante occupation gallo-romaine dans ce secteur. C’est toutefois la première fois que les scientifiques vont pouvoir explorer le passé de La Chapelle-des-Fougeretz sur une surface si importante (7 hectares).
Le diagnostic archéologique (première étape d’une opération d’archéologie préventive) réalisé en 2019 a révélé la présence d’une nécropole à incinération du premier âge du Fer (entre 600 et 500 avant JC). De plus, il a également révélé l’installation plus tardive d’un établissement agricole gaulois.
La partie la plus remarquable de ce chantier concernera la mise au jour d’un sanctuaire gallo-romain. Cet important ensemble à vocation cultuelle s’installe au début de la période antique, dès le Ier siècle de notre ère. Il semble fonctionner jusqu’au IIIe siècle. Les recherches permettront de mieux comprendre l’implantation du sanctuaire mais aussi son environnement proche. Les scientifiques pourront ainsi enrichir la connaissance de cette importante agglomération antique, de son organisation et de la vie des habitants à la période gallo-romaine.
À l’issue de la fouille, les chercheurs laisseront la place à l’aménagement et entameront une longue phase d’étude.
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La cérémonie s’est déroulée vendredi 25 février, en présence notamment, des architectes et paysagistes du programme. La Direction Générale du Groupe Giboire ainsi que des équipes en charge du programme ont, bien sûr, participé. Enfin, l’aménageur Socaren et la maire de Noisy-le-Grand, Brigitte Marsigny sont également intervenus.
Le programme se situe sur l’Écoquartier de l’île de la Marne, au cœur de l’un des plus grands écoquartiers d’Ile-de-France. Il est situé le long de la Marne et retenu au sein du dispositif « 100 quartiers innovants et écologiques » de la Région Île-de-France.
Le programme se compose de 119 logements, bénéficiant tous d’un espace extérieur (cabanes déportées, loggia, balcon, terrasse). Ce dernier s’inscrit dans un véritable esprit village et jouit d’un environnement privilégié, au cœur du Parc des Oiseaux. Il s’articule autour de venelles piétonnes et une grande place sera faite aux mobilités douces et aux vélos.
Le programme est porteur de hautes ambitions environnementales. Ainsi 75 % des logements sont en structure bois. Qui plus est, il a obtenu la certification NF HABITAT HQE et le label RT 2012 -20% pour l’ensemble des logements.
Les travaux ont débuté il y a environ un an et la livraison est prévue au 1er trimestre 2023.
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Noyal-sur-Vilaine, une commune dynamique à 15 minutes de Rennes
Située à 10 km à l’est de la capitale bretonne et bordée au Nord par la Vilaine qui forme une limite naturelle avec la commune d’Acigné, elle abrite un peu plus de 6 000 habitants. À proximité immédiate de la voie express Rennes-Le Mans, elle possède également d’une gare ferroviaire, à 10 minutes de la résidence, ce qui lui garantit une accessibilité optimale et un dynamisme économique certain.
La résidence Terra Siena est idéalement implantée, en centre-bourg dans un quartier calme et résidentiel. Commerces de proximités, écoles, parcs et chemins de randonnées sont accessibles facilement à pied.
Une architecture aux teintes chaleureuses
Soucieuse de s’intégrer harmonieusement dans le tissu urbain existant, Terra Siena propose une architecture simple soulignée par des teintes chaleureuses. Elle se compose de 2 immeubles collectifs de 4 étages abritant 60 appartements du T2 au T5 et de 6 maisons individuelles T5 en limite ouest du programme. Un enduit brun doré ainsi qu’un béton matricé bronzite rappellent la brique présente sur les constructions emblématiques de Noyal-sur-Vilaine. Un décroché de façades permet de créer une placette autour du lavoir.
Un travail de conservation des végétaux et la plantation de nouveaux arbres offrent un espace vert central aux multiples usages ainsi qu’une ambiance champêtre et paisible dans cet îlot situé en plein centre-bourg.
Tous les logements bénéficient de belles orientations afin de garantir une luminosité maximale et de généreux espaces extérieurs.
Les typologies des appartements sont réparties comme suit : 21 T2, 24 T3, 13 T4 et 2 T5. Les 6 maisons proposent 5 pièces.
Les travaux débuteront au T2 2022 pour une livraison au T3 2024.
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La déconstruction d’une partie du bâti existant de l’ancienne CPAM a débuté. Le chantier du programme Renaissance situé Boulevard de la Paix à Vannes illustre notre engagement écoresponsable.
La déconstruction des deux ailes de part et d’autre de la Tour : une étape importante du chantier
Le programme Renaissance est commercialisé depuis la fin d’année 2021. Il présente, d’ailleurs, son futur visage sur de nombreux supports. Le chantier atteint, quant à lui, l’une de ses phases les plus emblématiques cette semaine.
En effet, les deux ailes qui entourent la tour (qui sera, elle conservée), sont en cours de déconstruction. C’est une machine impressionnante qui est à l’œuvre. Il s’agit d’une pelle à long bras de 20 mètres de long et pesant 9 tonnes. Cette étape de déconstruction va durer 10 semaines.
A l’arrivée de la pelle, les bâtiments sont déjà curés et donc purgés de tous éléments et déchets. En amont, le désamiantage de l’opération a duré 2 ans pour un coût travaux de plus de 2,5 millions d’euros. Il ne reste plus que le squelette béton et l’étanchéité des toitures terrasse de la tour.
Une opération engagée et responsable
La réhabilitation de cette tour, élément central de la future résidence, illustre l’ambition de faire renaître la ville sur elle-même. Elle s’inscrit également dans un objectif de limiter la consommation foncière. Soutenu par le Groupe Giboire, ce véritable défi de reconstruction accompagne les politiques les plus ambitieuses en matière de logement et de respect de l’environnement.
Pour illustration, cette opération permet de réaliser une économie environnementale de près de 2800 tonnes équivalents CO2. Cela représente plus de 9 millions de km en avion ou 11 millions de km en voiture par exemple. La totalité du béton issu de la déconstruction sera réduit sur site en blocs inférieurs à 50 cm. Il s’agit de limiter les volumes dans les bennes de transport. Cela devrait représenter environ 5500 tonnes. Il sera ensuite transporté sur le site « Ecoterre de Guernevé » à Theix situé à proximité du programme. Ce circuit court permettra de limiter le bilan carbone de l’opération. Sur place, le béton sera concassé et revalorisé pour la réalisation de matériaux de couche de forme ou de béton de granulats recyclé par exemple. Ces derniers sont réutilisables dans le cadre de nouvelles constructions.
La réhabilitation permet donc ici de diminuer la pression sur les ressources et matières. En outre, elle vise à réduire l’impact sur l’artificialisation des sols et à éviter les émissions de gaz à effets de serre.
Au-delà de ces enjeux environnementaux, la Ville de Vannes, Bretagne Sud Habitat et le Groupe Giboire ont initié un partenariat afin de garantir et de produire plus de 25% de logements (soit 44 appartements) en locatif social sur cette opération. Un engagement qui participe au lien social et à la mixité.
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A quelques mois des JO de Paris 2024 et soucieux de s’impliquer auprès des acteurs locaux du monde associatif et sportif, le Groupe Giboire apporte son soutien au comité départemental Handisport de Loire Atlantique (CDH 44) en paraphant une convention de mécénat de 3 ans.
Soutenir l’accessibilité du mouvement pour les personnes déficientes auditives
Le CDH 44 a pour mission d’accompagner le développement de la pratique sportive. Il agit auprès des clubs du département mais aussi auprès des athlètes. Il s’attache à donner plus de visibilité et à améliorer la promotion du mouvement handisport via différentes actions de communication. A cet effet, le comité est en contact régulier avec différents acteurs de l’inclusion sur son territoire.
Elue au CDH 44 et membre du bureau, Séverine Prigent œuvre notamment pour le développement du sport sourd. Elle souffre elle-même d’un handicap. Malentendante, elle a besoin d’aménagements spécifiques, et notamment le soutien d’un interprète, pour pouvoir siéger aux différentes réunions du Comité. Le mécénat apporté par le Groupe Giboire sur les 3 prochaines années permettra de financer cette aide. En effet, cela favorisera une meilleure inclusion et un exercice plus confortable de ses missions au quotidien. Les réunions d’échanges avec le Club des Sourds de Nantes pourront également bénéficier de ces financements.
Un partenariat pour sensibiliser au handisport et plus largement au handicap
Outre son rôle au sein du Comité, Séverine Prigent est également championne de France de tir à l’arc handisport. Ainsi, ce partenariat sera donc l’occasion de sensibiliser les équipes du Groupe Giboire aux thématiques sport et handicap.
« Le CDH 44 œuvre au quotidien pour l’inclusion des personnes ayant un handicap moteur ou sensoriel à travers le sport. Pour le public sourd, malgré toute notre bonne volonté à faire appel le plus possible à des interprètes, nous nous trouvons confrontés au problème de financement. Nous sommes une association et nous n’avons pas de subvention spécifique pour payer les frais interprètes. Nous sommes vraiment reconnaissants que le groupe Giboire nous soutienne. Séverine Prigent, élue depuis 2019, est en charge des relations et du développement du sport sourd sur le département. Elle va enfin pouvoir trouver toute sa place dans nos réunions. En effet, les échanges vont être facilités. De fait notre travail sera beaucoup plus cohérent et constructif. De manière plus générale, nous avons remarqué que les personnes malentendantes ont souvent du mal à s’intégrer. Maintenant les échanges seront plus fluides. Nous pourrons alors, vraiment parler d’inclusion pour le public sourd. »
« Le Groupe Giboire est sensible aux actions visant à soutenir l’inclusion et l’insertion des personnes en situation de handicap. Nous avons, notamment, participé à la levée de fonds de Bretagne Ateliers fin 2020 sous forme de titres associatifs. Bretagne Ateliers emploie aujourd’hui 600 personnes dont 440 travailleurs handicapés. Plus que par des paroles, c’est par des actes auprès de ceux qui sont engagés dans la réalité de ces valeurs que nous souhaitons apporter notre soutien. Nous sommes donc fiers,à nouveau, de nous inscrire dans cette démarche locale, concrète et qui fait sens, sur l’un des territoires sur lesquels nous sommes le plus investi au quotidien. Nous nous réjouissons déjà des échanges à venir entre nos deux structures.
Geoffroy Petit – Directeur Développement Pays de la Loire